Contrairement aux conclusions de la FNAIM qui prévoit une stabilisation des prix dans l’ancien en 2010, HSBC annonce un recul de 4 % dans l’immobilier ancien. Principal argument des analystes de la prestigieuse maison britannique : les perspectives économiques encore trop sombres et la hausse inévitable du chômage, qui serait responsable à elle seule de 2 % de baisse. Si on y rajoute la perte de solvabilité des ménages, et ce, malgré le coût très abordable (mais qui pourrait monter) du crédit immobilier, on a tous les ingrédients pour maintenir le mouvement à la baisse dans l’ancien.nnDans l’immobilier neuf par contre les prix devraient rester stables malgré une demande appelée à demeurer en retrait.
Recul de 4 % des prix dans l’immobilier ancien
22/02/2010